Littérature française

Le terme littérature :

Diachroniquement parlant le terme littérature n’a pas toujours la même signification que l’on lui donne aujourd’hui.

Au 16ème siècle littérature voulait dire culture du texte, c’était l’érudition, c’était une somme de l’écriture.

Au 18ème siècle le mot littérature désigne les conditions de l’écrivain soit :

. Le monde des lettres.
. Carrière des lettres.
. L’industrie des lettres.

Ce n’est qu’au 19ème siècle que le mot littérature est devenu plus en moins synonyme de belle lettre.
Au 20ème siècle ROBERT EXARPITE considère que la littérature est l’ensemble de la production littéraire incluant les points littéraires, c’est donc un objet d’étude, un corpus d’œuvre.

L’histoire littéraire par rapport à l’historiographie :

Pendant très longtemps les études littéraires se sont confondues avec l’histoire littéraire, celle-ci consistait a raconter ce qu’elle considérait être une littérature a en faire l’historique.
En France après la révolution, l’histoire littéraire a constitué un ensemble d’écrits en littérature nationale et la littérature en un art en établissant un corpus d’œuvre comme est de recherche d’œuvres reconnues selon divers critères :

1. La langue écrite : le français sous le territoire français.
2. L’époque du moyen age, la renaissance du classicisme.
3. L’école, le courant littéraire
4. Le gène littéraire, il fallait diviser le nom fictif et fiction ( poème, roman, nouvelle, conte, pièces théâtrales et écrits).
5. Le style, les empruntes personnifiées d’écrivain qui diffèrent de l’écriture a une autre et qui peut représenter un courant
6. L’auteur lui-même : l’autobiographie – la biographie – la monographie.

L’histoire littéraire cherche à travers ces différents critères à établir un répertoire d’œuvre et un palmarès d’auteur, elle opère des classements donc pour l’histoire littéraire et d’abord et avant tout une bibliothèque à ce que doit en retrouver celle là qu’on la cherche et qu’on la retrouve.
L’histoire littéraire a une finalité bibliographique : Esthétique du texte littéraire

La critique historique : est inséparable de l’histoire littéraire c’est une approche externe ou extérieure transcendante par rapport au texte, c’est une critique qui est parfois normative ou descriptive selon une idéologie religieuse morale politique ou autre, c’est une critique objective, on pense qu’elle ajoute beaucoup au texte par la paraphrase qu’elle multiple les intermédiaires et les médiations entre l’auteur et le texte ou entre le texte et le lecteur.
Lq genèse : l’origine est l’historique de l’œuvre qui nolise tout son énergie et trouve son abolissement ultime l’édition critique génétique ou l’historique que l’on appelle aussi ancienne critique.

La critique philosophique : c’est une critique académique d’érudition c'est-à-dire des influences abondantes des œuvres, donc une nouvelle science de la critique bibliographique, elle fait l’inventaire de tout les textes littéraires, elle doit faire appel à l’historiographique : la science qui examine les manuscrites, elle comporte les brouillons, les corrections, les ajouts, les coupures. On appelle tout ça l’avant, ces travaux rendent compte des mentalités des histoires et des idées.

La critique psychologique : c’est souvent le complément de la critique psychologique, biographique cherche comment a vécu l’auteur, elle ne cherche pas à expliquer le texte mais a impliquer le lecteur, elle résume, elle répète, elle annonce une biographie.

La critique symbolique : considère que les thèmes littéraires se réalise dans des images dans l‘imaginaire sous la forme de symboles qui peuvent tenir les 4 éléments de la nature.

La critique thématique : il y a toutes sortes de thématiques ou psychiques reliant de la sociologie la philosophie, la méthodologie et la psychosociologie, le thème peut être conscient, préconscient ou subconscient et peut être une forme ou une catégorie.

La focalisation : point de vue à partir duquel sont racontés les évènements qui composent un récit.

La focalisation Zéro : lorsque le narrateur est placé au contre de l’énonciation qu’il connaît les personnages dehors ( gestes et actions) et du dedans ( pensées ). La focalisation Zéro se rencontre essentiellement dans le récit à la 3ème personne.

Externe : lorsque le narrateur occupe la position d’un témoin, un observateur extérieur aux évènements, il ne connaît alors les personnages que dehors, il n’a jamais accès à leurs pensées intimes.
Interne : lorsque le point de vue du narrateur se confond avec celui d’un personnage. Ce personnage est connu du dedans et de dehors tandis que les autres personnages ne sont présents qu’à travers leurs gestes, actes et paroles.

La focalisation interne place le personnage au centre de l’énonciation. On la retrouve principalement dans le récit autobiographique ou le roman à la première personne.